Une rencontre avec Jean-Luc Raharimanana aura lieu le 29 juillet à 11h au Disque Bleu pour échanger autour de son œuvre.
Dans son recueil de cent poèmes La Voix, le Loin, Jean-Luc Raharimanana écoute les voix qui le traversent : celles de la nature et des ancêtres, mais aussi celles des êtres du présent visible et invisible. Le concert Kabar Trio se nourrit de cette poésie d’ici et d’ailleurs. Accompagné des musiciens Jean-Christophe Feldhandler (percussion) et Vivien Trelcat (live électronique), le poète et musicien malgache vient mêler aux voix du bar ses questions sur le jeu, le rêve, les frontières, les utopies oubliées. Aux rituels du café parisien à tendance kabyle, il entrelace des mots et des sons venus du Tromba, cérémonie de transe qui se pratique aussi bien à Madagascar qu’à Mayotte en temps de crise, collective ou personnelle. C’est de circonstance !
Jean-Luc Raharimana – Auteur, metteur en scène
Romancier, essayiste et poète malgache, Raharimanana est également auteur de pièces de théâtre, de contes musicaux et metteur en scène.
Né le 26 juin 1967 à Antananarivo, il reçoit à l’âge de 22 ans le Prix Tardivat International de la meilleure nouvelle de langue française (RFI,ACCT, Le Monde), quitte Madagascar et vient s’installer en France grâce à une bourse d’étude. L’année d’après, il décroche le prix Tchicaya U’Tamsi du théâtre interafricain (RFI). Artiste engagé, il se consacre à l’écriture, à la pensée et au théâtre. Il s’attaque aux mots, malaxe le sens jusqu’à ce que leur musicalité pénètre au plus profond du lecteur, ancre la mémoire dans le corps, et fait acte de beauté dans le dire et l’écrit.
Il est l’auteur de dix-neuf livres, recueils, nouvelles, récits, romans, et participe à l’écriture d’ouvrages collectifs. En 1998, il se voit décerner le Grand Prix Littéraire de Madagascar (ADELF), pour Rêves sous le linceul, en 2011, le Prix de la Poésie du Salon du Livre insulaire d’Ouessant, pour Les cauchemars du gecko et en 2018, le prix Jacques Lacarrière pour Revenir.
Il écrit aussi pour le cinéma et collabore avec les réalisateurs Maéva Ranaivojaona et Georg Teller, avec le réalisateur Lova Nantenaina. Le théâtre occupe toutefois une place prépondérante dans sa carrière. Auteur de nombreuses pièces et de contes musicaux, il porte lui-même ses textes à la scène et fonde en 2014 la compagnie SoaZara, regroupant dramaturges, musiciens, vidéastes et danseurs. En lien avec le réseau Afrique 37, Indre et Loire, il participe en 2002 à la création du Festival Plumes d’Afrique.
Conférencier et traducteur, il sillonne le monde pour parler écriture et littérature. En 2021, il confonde la maison d’éditions Project’îles avec Nassuf Djailani, poète et journaliste mahorais. Raharimanana participe à de nombreuses manifestations culturelles, donne des cycles de conférence, mène des masterclass et tient des ateliers d’écriture avec les institutions et les théâtres autour de la question francophone.
Dans son recueil de cent poèmes La Voix, le Loin, Jean-Luc Raharimanana écoute les voix qui le traversent : celles de la nature et des ancêtres, mais aussi celles des êtres du présent visible et invisible. Le concert Kabar Trio se nourrit de cette poésie d’ici et d’ailleurs. Accompagné des musiciens Jean-Christophe Feldhandler (percussion) et Vivien Trelcat (live électronique), le poète et musicien malgache vient mêler aux voix du bar ses questions sur le jeu, le rêve, les frontières, les utopies oubliées. Aux rituels du café parisien à tendance kabyle, il entrelace des mots et des sons venus du Tromba, cérémonie de transe qui se pratique aussi bien à Madagascar qu’à Mayotte en temps de crise, collective ou personnelle. C’est de circonstance !
Jean-Luc Raharimana – Auteur, metteur en scène
Romancier, essayiste et poète malgache, Raharimanana est également auteur de pièces de théâtre, de contes musicaux et metteur en scène.
Né le 26 juin 1967 à Antananarivo, il reçoit à l’âge de 22 ans le Prix Tardivat International de la meilleure nouvelle de langue française (RFI,ACCT, Le Monde), quitte Madagascar et vient s’installer en France grâce à une bourse d’étude. L’année d’après, il décroche le prix Tchicaya U’Tamsi du théâtre interafricain (RFI). Artiste engagé, il se consacre à l’écriture, à la pensée et au théâtre. Il s’attaque aux mots, malaxe le sens jusqu’à ce que leur musicalité pénètre au plus profond du lecteur, ancre la mémoire dans le corps, et fait acte de beauté dans le dire et l’écrit.
Il est l’auteur de dix-neuf livres, recueils, nouvelles, récits, romans, et participe à l’écriture d’ouvrages collectifs. En 1998, il se voit décerner le Grand Prix Littéraire de Madagascar (ADELF), pour Rêves sous le linceul, en 2011, le Prix de la Poésie du Salon du Livre insulaire d’Ouessant, pour Les cauchemars du gecko et en 2018, le prix Jacques Lacarrière pour Revenir.
Il écrit aussi pour le cinéma et collabore avec les réalisateurs Maéva Ranaivojaona et Georg Teller, avec le réalisateur Lova Nantenaina. Le théâtre occupe toutefois une place prépondérante dans sa carrière. Auteur de nombreuses pièces et de contes musicaux, il porte lui-même ses textes à la scène et fonde en 2014 la compagnie SoaZara, regroupant dramaturges, musiciens, vidéastes et danseurs. En lien avec le réseau Afrique 37, Indre et Loire, il participe en 2002 à la création du Festival Plumes d’Afrique.
Conférencier et traducteur, il sillonne le monde pour parler écriture et littérature. En 2021, il confonde la maison d’éditions Project’îles avec Nassuf Djailani, poète et journaliste mahorais. Raharimanana participe à de nombreuses manifestations culturelles, donne des cycles de conférence, mène des masterclass et tient des ateliers d’écriture avec les institutions et les théâtres autour de la question francophone.