De et par Dieudonné Niangouna
Compagnie Les Bruits de la Rue
Pour la seconde édition de « Tournée Générale », le dramaturge et comédien Dieudonné Niangouna fait honneur aux bars du 12ème arrondissement en écrivant pour eux un monologue, De ce côté. Entre salle et comptoir, il porte lui-même la parole de Zacharie. Un ancien auteur, metteur en scène et comédien venu d’un pays d’Afrique jamais nommé, qui après avoir connu un certain succès dans son pays d’accueil (la France), a rencontré des difficultés liées au contexte politique. Il a décidé d’ouvrir un bar : La Cour des Miracles, où il s’adresse à des clients réels et rêvés. Où, entre deux verres, il fabrique des histoires dont on ne serait pas surpris d’apprendre qu’elles ont un degré élevé de réalité.
L’artiste :
Auteur, metteur en scène, comédien et pédagogue, Dieudonné Niangouna crée la Compagnie Les Bruits de la Rue en 1997 à Brazzaville. Ses premiers projets trouvent d’abord un écho dans les rues, en dehors des théâtres détruits par la guerre. Ils signent alors ses premières pièces : La Colère d’Afrique, Bye-Bye, Carré blanc qui le fera connaître en France en 2002 au Festival des Francophonies en Limousin à Limoges, Patati Patata et des Tralala, Intérieur-Extérieur, Banc de touche. Remarqué pour son langage provocant et explosif, Dieudonné Niangouna est invité en 2005 par la Comédie Française pour lire au Vieux Colombier son texte dramatique La mort est venue chercher chaussure.
Il se fait remarquer au Festival d’Avignon en 2007 avec Attitude Clando et en 2009 avec Les Inepties volantes. Suivent ensuite les créations du Socle des Vertiges, Shéda (créé à la Carrière de Boulbon lors du Festival d’Avignon en 2013), Le Kung Fu, Nkenguégi, Antoine m’a vendu son destin / Sony chez les chiens, Trust / Shakespeare / Alléluia… Son travail rayonne désormais largement en France, mais aussi en Afrique, en Europe et en Amérique du Sud.
En 2018, le Berliner Ensemble l’invite à écrire et monter l’un de ses textes avec la troupe du théâtre. Ce sera Fantôme qui entre ainsi au répertoire de l’institution berlinoise.
Dieudonné Niangouna a été artiste associé à l’édition 2013 du Festival d’Avignon, puis d’octobre 2014 à mars 2017 au Künstlerhaus Mousonturm à Francfort, et en 2019 au Théâtre des Quartiers d’Ivry. Il est actuellement artiste de l’Ensemble Associé au Théâtre des 13 vents CDN Montpellier depuis 2018.
Si Dieudonné Niangouna met en scène la plupart de ses textes, il écrit aussi pour d’autres metteurs en scène ou acteurs : Étienne Minoungou, Frédéric Fisbach…
Ses textes sont publiés aux Éditions Les Solitaires Intempestifs et Carnets-Livres. Sa pièce M’appelle Mohamed Ali reçoit en 2015 le Prix littéraire des apprentis et lycéens en Île-de-France.
Il est aussi le co-fondateur en 2003 du Festival Mantsina-sur-Scène, manifestation pluridisciplinaire du spectacle vivant qui se tient chaque mois de décembre à Brazzaville, infusant la ville de propositions artistiques audacieuses, dans les salles comme dans les rues.
Compagnie Les Bruits de la Rue
Pour la seconde édition de « Tournée Générale », le dramaturge et comédien Dieudonné Niangouna fait honneur aux bars du 12ème arrondissement en écrivant pour eux un monologue, De ce côté. Entre salle et comptoir, il porte lui-même la parole de Zacharie. Un ancien auteur, metteur en scène et comédien venu d’un pays d’Afrique jamais nommé, qui après avoir connu un certain succès dans son pays d’accueil (la France), a rencontré des difficultés liées au contexte politique. Il a décidé d’ouvrir un bar : La Cour des Miracles, où il s’adresse à des clients réels et rêvés. Où, entre deux verres, il fabrique des histoires dont on ne serait pas surpris d’apprendre qu’elles ont un degré élevé de réalité.
L’artiste :
Auteur, metteur en scène, comédien et pédagogue, Dieudonné Niangouna crée la Compagnie Les Bruits de la Rue en 1997 à Brazzaville. Ses premiers projets trouvent d’abord un écho dans les rues, en dehors des théâtres détruits par la guerre. Ils signent alors ses premières pièces : La Colère d’Afrique, Bye-Bye, Carré blanc qui le fera connaître en France en 2002 au Festival des Francophonies en Limousin à Limoges, Patati Patata et des Tralala, Intérieur-Extérieur, Banc de touche. Remarqué pour son langage provocant et explosif, Dieudonné Niangouna est invité en 2005 par la Comédie Française pour lire au Vieux Colombier son texte dramatique La mort est venue chercher chaussure.
Il se fait remarquer au Festival d’Avignon en 2007 avec Attitude Clando et en 2009 avec Les Inepties volantes. Suivent ensuite les créations du Socle des Vertiges, Shéda (créé à la Carrière de Boulbon lors du Festival d’Avignon en 2013), Le Kung Fu, Nkenguégi, Antoine m’a vendu son destin / Sony chez les chiens, Trust / Shakespeare / Alléluia… Son travail rayonne désormais largement en France, mais aussi en Afrique, en Europe et en Amérique du Sud.
En 2018, le Berliner Ensemble l’invite à écrire et monter l’un de ses textes avec la troupe du théâtre. Ce sera Fantôme qui entre ainsi au répertoire de l’institution berlinoise.
Dieudonné Niangouna a été artiste associé à l’édition 2013 du Festival d’Avignon, puis d’octobre 2014 à mars 2017 au Künstlerhaus Mousonturm à Francfort, et en 2019 au Théâtre des Quartiers d’Ivry. Il est actuellement artiste de l’Ensemble Associé au Théâtre des 13 vents CDN Montpellier depuis 2018.
Si Dieudonné Niangouna met en scène la plupart de ses textes, il écrit aussi pour d’autres metteurs en scène ou acteurs : Étienne Minoungou, Frédéric Fisbach…
Ses textes sont publiés aux Éditions Les Solitaires Intempestifs et Carnets-Livres. Sa pièce M’appelle Mohamed Ali reçoit en 2015 le Prix littéraire des apprentis et lycéens en Île-de-France.
Il est aussi le co-fondateur en 2003 du Festival Mantsina-sur-Scène, manifestation pluridisciplinaire du spectacle vivant qui se tient chaque mois de décembre à Brazzaville, infusant la ville de propositions artistiques audacieuses, dans les salles comme dans les rues.