D’après Les Paradis artificiels de Charles Baudelaire (1851)
C’est avec les mots de Baudelaire, l’un des plus fervents défenseurs de l’ivresse, que le comédien et metteur en scène Olivier Balazuc ouvre la seconde édition de « Tournée Générale ». Amoureux de la poésie dionysiaque de l’auteur des Fleurs du Mal, il porte son dévolu sur Le Vin, texte d’ouverture des Paradis artificiels, qui pourrait faire office de manifeste pour le festival. Sous la forme d’une vraie-fausse conférence sur le pinard qui finit par virer à la transe, cette entrée en matière célèbre l’alcool comme clé d’ouverture enchantée vers le réel autant que vers le poème. In vivo et in vino, cette conférence expérimentale fête les retrouvailles des amis des arts et des bars.
C’est avec les mots de Baudelaire, l’un des plus fervents défenseurs de l’ivresse, que le comédien et metteur en scène Olivier Balazuc ouvre la seconde édition de « Tournée Générale ». Amoureux de la poésie dionysiaque de l’auteur des Fleurs du Mal, il porte son dévolu sur Le Vin, texte d’ouverture des Paradis artificiels, qui pourrait faire office de manifeste pour le festival. Sous la forme d’une vraie-fausse conférence sur le pinard qui finit par virer à la transe, cette entrée en matière célèbre l’alcool comme clé d’ouverture enchantée vers le réel autant que vers le poème. In vivo et in vino, cette conférence expérimentale fête les retrouvailles des amis des arts et des bars.