Si le silence est d’or, MERCUR a le pouvoir de l’amalgamer. À la manière du vif argent, l’instrument de mesure, il se révèle être un pharmakon, un poison pour un antidote, un mensonge pour dire vrai. Ce n’est qu’un prêt pour un rendu.
Imaginez-vous ces jours de fêtes où le fou prenait la place du roi. Si son ancêtre faisait parler les morts, qu’il transformait le plomb en or, alors MERCUR sur une note alambiquée, par un habile jeu de mot, une anagramme scabreuse, saura sublimer une ordure en dorure et vice versa, pour un moment seulement, pour un moment déjà.
L’enfant fabriqua une lyre avec une carapace de tortue et trois bouts de viscères. À l’instar de cette coquille vide, MERCUR se configure comme une caisse de résonance où les sons torturés, la mélodie raffinée, la poésie saturée se frôlent, s’entrechoquent, et créent l’espace où l’être, incarné comme un ongle dans l’orteil, tente une échappée... Une échappée inachevée...
Rodolphe Blanchet
Après des études en arts du spectacle et trois ans d’école d’acteur à l’ERCAM, Rodolphe Blanchet s’intéresse particulièrement aux écritures contemporaines, la poésie rythmée ainsi qu’à la M.A.O. Il joue au théâtre notamment dans les mises en scènes de Thierry Bedard, interprète les textes du poète Jean-Luc Raharimanana en compagnie des guitaristes Tao Ravao, et Rija Randrianivosoa dans Les excuses et dires liminaires de Za et Les Cauchemars du Gecko en Avignon 2008. Rodolphe continue d’écrire sa poésie en étroite relation avec le rythme, c’est en 2012 avec Yann Deval et Thomas Fage qu’il créé MERCUR, un projet aux multiples horizons qui tournera de Bruxelles à Toulouse en passant par Paris. À la suite de quoi il jouera le prof’ de rap dans Master, une comédie musicale écrite par David Lescot et mise en scène par Jean Pierre Baro produit par le CDN de Sartrouville qui tournera dans la France entière pendant plus de quatre saisons. Aujourd’hui Rodolphe continue ses collaborations avec différents musiciens et produit ses propres morceaux, pour vous proposer une musique aux influences rock, blues, rap, éminemment actuelle.
Imaginez-vous ces jours de fêtes où le fou prenait la place du roi. Si son ancêtre faisait parler les morts, qu’il transformait le plomb en or, alors MERCUR sur une note alambiquée, par un habile jeu de mot, une anagramme scabreuse, saura sublimer une ordure en dorure et vice versa, pour un moment seulement, pour un moment déjà.
L’enfant fabriqua une lyre avec une carapace de tortue et trois bouts de viscères. À l’instar de cette coquille vide, MERCUR se configure comme une caisse de résonance où les sons torturés, la mélodie raffinée, la poésie saturée se frôlent, s’entrechoquent, et créent l’espace où l’être, incarné comme un ongle dans l’orteil, tente une échappée... Une échappée inachevée...
Rodolphe Blanchet
Après des études en arts du spectacle et trois ans d’école d’acteur à l’ERCAM, Rodolphe Blanchet s’intéresse particulièrement aux écritures contemporaines, la poésie rythmée ainsi qu’à la M.A.O. Il joue au théâtre notamment dans les mises en scènes de Thierry Bedard, interprète les textes du poète Jean-Luc Raharimanana en compagnie des guitaristes Tao Ravao, et Rija Randrianivosoa dans Les excuses et dires liminaires de Za et Les Cauchemars du Gecko en Avignon 2008. Rodolphe continue d’écrire sa poésie en étroite relation avec le rythme, c’est en 2012 avec Yann Deval et Thomas Fage qu’il créé MERCUR, un projet aux multiples horizons qui tournera de Bruxelles à Toulouse en passant par Paris. À la suite de quoi il jouera le prof’ de rap dans Master, une comédie musicale écrite par David Lescot et mise en scène par Jean Pierre Baro produit par le CDN de Sartrouville qui tournera dans la France entière pendant plus de quatre saisons. Aujourd’hui Rodolphe continue ses collaborations avec différents musiciens et produit ses propres morceaux, pour vous proposer une musique aux influences rock, blues, rap, éminemment actuelle.